lundi 2 avril 2012

Lannemezan au galop


Lannemezan au galop

Les Lourdais sont retombés de haut, hier après-midi sur le Plateau./ Photo DDM, Laurent Dard.
Les Lourdais sont retombés de haut, hier après-midi sur le Plateau./ Photo DDM, Laurent Dard.
Les Lourdais sont retombés de haut, hier après-midi sur le Plateau./ Photo DDM, Laurent Dard.

Les hommes de Jean-Bernard Duplantier sont tombés de haut à François Sarrat, eux qui, selon les dires de l'un de leurs dirigeants, pensaient venir faire main basse sur le Plateau. Main basse, cela veut dire prendre la victoire avec le bonus offensif. Au final, les rouges et bleus n'ont même pas pu obtenir le bonus défensif et sur l'ensemble du scénario, il n'y a pas grand-chose à dire. La faute à une entame de match calamiteuse puisque l'équipe s'est fait transpercer à trois reprises consécutivement pour autant de renvois. Avec pour conclusion, seize points encaissés (une pénalité, deux drops, un essai et une transformation).Rien n'est définitivement terminé, mais les Lourdais, en s'inclinant lourdement à Lannemezan, ne sont plus totalement maîtres de leur destin. Il faudra le concours de certains autres résultats pour en savoir davantage.

En quatre minutes, l'équipe de la cité a encaissé seize points. Rédhibitoire. Contrainte de courir après le score, celle-ci n'a jamais pu se rapprocher à moins de quatre points, soit le score à la mi-temps.

L'espoir dura un court instant. Dès la reprise, une percée de Tilhac suivi d'un relais de Lafforgue autorisait le troisième ligne, Lin, a inscrire le second essai.

Les Lannemezanais gérèrent la suite et ce n'est pas l'essai de l'ailier, Navakadretia, qui allait inverser la tendance.

Au sortir de cette journée, les Lannemezanais précèdent les Lourdais d'une place au classement.

Pour ces derniers, la qualification s'annonce problématique.

lannemezan 36 - lourdes 19

M.-T.: 19-12; arbitre: M. Courbier (Pays Catalan) Vainqueurs: 3E Lopez (9), Lin (42), Cazenave (61); 3T, 3P (5, 38, 46), 2DG (7, 8) Dasque Carton blanc: Giordano (51), Lanne-Petit (80+1)

Vaincus: 1E Navakadretia (52); 1T, 3P (2, 13, 25), 1DG (40) Pouey

LANNEMEZAN: Dasque; Giordano, Tilhac (Boyer 43), Lafforgue (cap.), Cazenave; (o) Dubarry (Pécune 72), (m) Lopez (Lanne-Petit 72); Herbin, Lin, Plo (Gélédan 54); Doumenjou (Dasté 54), Labadie; Salle (Oosthuisen 49), Ducasse (Pujo 54), Piorkowska (Jambaqué 49)

Carton blanc: Giordano (51), Lanne-Petit (80+1)

LOURDES: Dourthe; Abbadie (Manterola 43), Rokodiva, Brua, Navakadretia; (o) Pouey, (m) Dulac (Paulès 62); Maisonabe, Pays, Toevalu (cap.); Igau, Socol (Loubery (62); Da Costa (Zanibellato 66-77), Irigoyen (Cazalot 54), Iribarne (Miro 54)

Exclu.tempo.: Toevalu (67)

Quand Lannemezan donne la leçon


Quand Lannemezan donne la leçon

Fédérale 1. Les Lourdais, qui pensaient prendre des points à Sarrat, sont tombés de haut. La qualification s'éloigne.

Toute la volonté des Lannemezanais ici symbolisée par Christophe Dasque face à Mathieu Dourthe./Photo Laurent Dard
Toute la volonté des Lannemezanais ici symbolisée par Christophe Dasque face à Mathieu Dourthe./Photo Laurent Dard
Toute la volonté des Lannemezanais ici symbolisée par Christophe Dasque face à Mathieu Dourthe./Photo Laurent Dard

MT : 19-12. Arbitre : M. Courbier (Pays catalan).Lannemezan 36 Lourdes 19

Pour Lannemezan : 3 E de Lopez (8e), Lin (42e), Cazenave (60e), 3 T, 3 P (4e, 39e, 46e) et 2 D de Dasque (6e, 7e).

Pour Lourdes : 1 E Navakadrieta (50e) ; 1 T, 3 P (2e, 12e, 24e) et 1 D Pouey (40e).

FC Lourdes : Dourthe ; Abbadie (Manterola 42e), Rokodiva, Brua, Navakadretia ; (o) Pouey, (m) Dulac (Paules 62e) ; Maisonabe, Pays, Toevalu (cap) ; Igau, Socol (Loubery 62e) ; Da Costa (Zanibellato 66e), Irigoyen (Cazalot 54e), Iribarne (Miro 54e).

CA LANNEMEZAN : Dasque ; Giordano, Tilhac (Boyer 42e), Lafforgue (cap.), Cazenave ; (o) Dubarry (Pécune 72e), (m) Lopez (Lanne Peti 72e) ; Herbin, Lin, Plo (Geledan 54e) ; Doumenjou (Daste 54e), Labadie ; Salle (Jambaque 48e), Ducasse (Pujo 54e), Piorkowska (Oosthuizen 48e).

Carton jaune : à Toevalu (67e), de Lourdes.

Cartons blancs : Giordano (50e), Lanne-Petit (82e), de Lannemezan.

22 points en douze minutes, 16 points en quatre minutes. François-Sarrat a connu un premier quart d'heure de folie. Mais surtout, rarement, il nous a été donné de voir une équipe se faire transpercer trois fois consécutivement sur les renvois, comme le fut celle de Lourdes, entre la quatrième et la huitième minute.

Des percées au cœur avec, en tête de proue, un Tilhac intenable et quelques avancées sur le côté, pour autant de conclusions (deux drops et un essai de Lopez) ont, du coup, placé les Lourdais totalement hors de position. Songez qu'à la huitième minute, les Lannemezanais menaient 16-3. Un débours qui restera rédhibitoire pour la bande à Jean-Bernard Duplantier.

On crut pourtant qu'en fin de première période, s'appuyant sur leurs avants, les Lourdais qui avaient inscrit 9 points des pieds de Pouey, avaient mis insensiblement leur patte sur la rencontre. Les Lannemezanais bousculés sur les ballons portés, privés de munitions, flirtèrent avec la ligne jaune.

Mais voilà, il était dit que ce FCL, solide devant mais pas trop restrictif dans son jeu (il est assez incompréhensible que l'équipe n'utilise pas ou quasiment pas la puissance et l'explosivité de ses deux Fidjiens, Navakakadretia et Rokodiva), ne parviendrait pas à inverser la situation en sa faveur. Au contraire. Et comme en première période, c'est à un moment clé de la rencontre, soit dès la reprise, que les « rouge et blanc » allaient faire pencher la balance en leur faveur.

Quasiment sur le coup d'envoi, au sortir d'une mêlée près de la ligne, Lopez alertait ce diable de Tilhac qui tamponnait la défense, y échappait suffisamment pour servir Luc Lafforgue. Ce dernier incurvait sa course vers la ligne. S'ensuivait alors une avancée dans l'axe pour l'essai de Lin (42e, 26-12). En deux temps, trois mouvements, les gens du Plateau avaient plié l'affaire.

Certes, il y aura bien l'essai de Navakadretia (coup franc rapidement joué à la main près de la ligne). Mais dix minutes plus tard, suite à plusieurs passes devant la défense, Cazenave plongeait dans le coin, ôtant pour le coup le moindre suspense aux débats (36-19).

Le paradoxe vient du fait que ce match, qui a été animé régulièrement au rythme des points, n'a plus rien rapporté lors des vingt dernières minutes. Les acteurs ont beaucoup donné, au point de tous finir les mains sur les hanches.

Inutile de dire que si ce résultat réchauffe l'orgueil lannemezanais, il sonne presque le glas des espérances du FCL.


« Nous jouons libérés»

Jean Bernard Duplantier (entraîneur du FC Lourdes) : « Cette défaite sans bonus ne ruine pas complètement nos espoirs de qualification. Il nous reste encore deux matchs à disputer. Mais au-delà de l'aspect mathématique, aujourd'hui, nous allons passer à autre chose pour digérer cette défaite, cette désillusion. Nous sommes tombés sur une très bonne équipe de Lannemezan. Nous avons commis trop de fautes individuelles de défense. Il nous reste deux matchs, nous allons essayer de les terminer au mieux. Mais nous ne maîtrisons plus notre avenir. Même si nous engrangeons le maximum de points sur les deux dernières rencontres, rien ne nous garantit notre qualification. »

Soane Toevalu (capitaine de Lourdes) : « C'est toujours pareil, les entames sont notre point faible. C'est le mal de notre saison. En début de partie, nous encaissons toujours trop de points. Ensuite, nous nous crevons à revenir. C'est comme ça. »

Kindy Lopez (demi de mêlée du CAL) : « Dommage que nous ne nous qualifions pas car je crois que nous avions l'équipe pour le faire. Il ne faut nous en prendre qu'à nous-mêmes. En cette fin de saison, nous nous étions promis de faire de bons matchs, d'y prendre du plaisir, ce que nous avons fait à Oloron et aujourd'hui contre Lourdes. Il faut que cela continue, que l'on batte Valence-d'Agen samedi prochain, et avec la manière ».

Luc Lafforgue

(capitaine du CAL) : « Cela fait 2 ou 3 matchs que nous jouons avec cet état d'esprit qui nous a permis de l'emporter contre Oloron le week-end dernier, mais également aujourd'hui contre Lourdes, devant notre public. Nous jouons sans pression, pour nous faire plaisir. Nous tentons, nous envoyons du jeu, nous faisons des matchs intelligents. C'est autant de regrets, mais mieux vaut tard que jamais. Nous avons toujours su que le potentiel était là. À cet égard, les entraîneurs ne nous ont jamais bridés. Nous nous faisons plaisir, et faisons plaisir à notre public. Mais les regrets sont là, nous pourrions être bien mieux classés. »

Olivier Pujo (talonneur du CAL) : « Cela fait 2 matchs que nous jouons libérés. Nous ne nous posons pas de questions. On joue les ballons et ça sourit. Nous nous faisons plaisir. Dommage que nous n'ayons pas su jouer comme cela plus tôt. Le potentiel était là, mais peut-être n'avons nous pas su non plus l'exploiter complètement. Dommage c'est notre faute. »

Nicolas Dubarry (demi d'ouverture du CAL) : « Aujourd'hui, nous n'avions plus rien à perdre car nous ne sommes pas qualifiés. Comme à Oloron, nous avions dit que nous enverrions beaucoup de jeu, nous l'avons fait. Nous produisons deux bonnes entames en première et seconde période. Puis nous marquons un passage à vide, une baisse de régime qui permet aux Lourdais de revenir par des pénalités en première mi-temps. Au retour des « citrons », nous marquons et creusons l'écart. Dommage de ne pas avoir pris le point bonus offensif ».

Un demi-siècle pour le golf de Lannemezan


Un demi-siècle pour le golf de Lannemezan

anniversaire

Roger Ricateau, le président, avec Willy Goujon, sur le practice, en compagnie de jeunes golfeurs./Photo A. M.
Roger Ricateau, le président, avec Willy Goujon, sur le practice, en compagnie de jeunes golfeurs./Photo A. M.
Roger Ricateau, le président, avec Willy Goujon, sur le practice, en compagnie de jeunes golfeurs./Photo A. M.


En cette année 2012, le golf de Lannemezan va fêter ses 50 ans. Pour l'occasion, de nombreuses compétitions sont programmées tout au long de la saison. L'occasion de faire, avec Roger Ricateau, l'actuel président, un brin d'histoire afin de retracer l'aventure du golf de la Demi-Lune. Trois hommes sont à l'origine de la création du golf, et d'autres ont marqué son histoire. Selon Roger Ricateau : « Le golf est né en 1962, grâce à la volonté de trois hommes : le docteur Henri Ueberschlag, directeur de l'hôpital ; le docteur Paul Baratgin, sénateur, maire de Lannemezan, et Georges Sabathier, notaire à Galan, et conseiller général. Les trois hommes jugent la création d'un golf utile au plan touristique et ergothérapique. Henri Lasserre, le professeur de golf, et Pierre Hirigoyen, son oncle, lui professeur à Biarritz, ont permis, grâce à leur compétence et à leur dévouement, la mise en chantier.
Le 18 trous de Lannemezan fête cette année l'anniversaire de ses 50 ans. Au programme des réjouissances, l'organisation de compétitions nationales et régionales.

Les 9 premiers trous furent ouverts en 1962. Le club-house était alors une simple cabane. Les 9 autres trous furent lancés en 1972, grâce à l'appui du préfet Barbier. Le golf, qui appartenait au département, devint propriété de l'hôpital en 1974. C'est en 1989 que la commune de Lannemezan acquiert le parcours. Le 30 mai 1990, les pratiquants, réunis dans la SCI du golf de Lannemezan, rachètent le golf à la ville de Lannemezan, pour 4.800.000 F. Aujourd'hui encore, la SCI est propriétaire du patrimoine, l'activité sportive étant gérée par une association loi 1901 ». A. M.


repères

Le chiffre : 4,8

Millions de Francs > Montant de l'achat du golf. Par les sociétaires de la SCI en 1990.


Une nouvelle page s'est ouverte

Depuis quelques années, une nouvelle page s'est ouverte. Renouvellement du parc matériel, embauche d'un green-keeper et d'un apprenti jardinier. Structuration du pôle administratif, avec assistante de direction et deux secrétaires bilingues. Arrivée de Willy Goujon, moniteur très dynamique, qui n'a de cesse de former de nouveaux golfeurs de 4 à 80 ans. Grâce à ses deux gérants très actifs, la SCI, propriétaire du patrimoine, améliore les installations, terrain et bâtiments, afin de donner toujours plus de valeur au site.

Lannemezan. 74 participants au Parcours du cœur


Lannemezan. 74 participants au Parcours du cœur

santé et bien-être

Après l'effort, le réconfort, pour les participants, à l'initiative de la Fédération française de cardiologie./Photo A. Maillé.
Après l'effort, le réconfort, pour les participants, à l'initiative de la Fédération française de cardiologie./Photo A. Maillé.
Après l'effort, le réconfort, pour les participants, à l'initiative de la Fédération française de cardiologie./Photo A. Maillé.

À l'initiative de Christian Golla et de Pascal Bacqué, 74 personnes ont parcouru, hier matin, les 3 km d'un circuit tracé dans l'enceinte du parc de loisirs de la Demi-Lune. Un Parcours du cœur organisé au plan national par la Fédération française de cardiologie qui, pour lutter contre les accidents cardiaques, préconise 30 minutes d'activité physique par jour, la consommation quotidienne de 5 fruits et légumes, et zéro cigarette par jour. Une action qui, à ses débuts, a été initiée par Robert Bacqué, le greffé du cœur lannemezanais, le père de Pascal.

Christian Golla a tenu à remercier tous ceux qui ont permis la réussite de cette initiative : le directeur des Hôpitaux de Lannemezan, et du parc de loisirs de la Demi-Lune, les sapeurs-pompiers de la Croix-Rouge de Lannemezan, le docteur Fleury, cardiologue, et le maire de Lannemezan, qui a offert une collation. Mais aussi Pascal Fourcade pour sa démonstration d'utilisation d'un défibrillateur.

Après l'effort, le réconfort. Après avoir couru, ou marché sur les 3 km du circuit, tous les participants ont pu se restaurer et se réchauffer grâce au casse-croûte servi sur la place centrale du parc de loisirs.

Lannemezan. L'action sociale au cœur des actions de la section


Lannemezan. L'action sociale au cœur des actions de la section

Retraités de la gendarmerie

Lors de l'assemblée, le président Matyn, au micro, entourés des membres du comité directeur./ Photo J.-C. D.
Lors de l'assemblée, le président Matyn, au micro, entourés des membres du comité directeur./ Photo J.-C. D.
Lors de l'assemblée, le président Matyn, au micro, entourés des membres du comité directeur./ Photo J.-C. D.

Tel est l'objet social rappelé par Gérald Matyn, le président de la section FNRG (Fédération nationale des retraités de la gendarmerie), qui tenait son assemblée générale annuelle la semaine dernière, à la salle du Renouveau du plateau à Lannemezan. En début de séance, une minute de silence a été observée en mémoire des 7 disparus de la section, mais aussi en hommage aux 8 gendarmes tués en service, aux sapeurs-pompiers et policiers morts en service, ainsi qu'aux militaires français décédés en Afghanistan.« Défendre en priorité les intérêts matériels et moraux de tous les retraités et veuves de gendarmes, ainsi que ceux de leurs orphelins, sans pour autant oublier les gendarmes d'active. »

Lors de cette assemblée générale, beaucoup de sujets ont été abordés, dont les incontournables obligations liées au statut associatif (rapport moral, bilan financier, élections). Pour autant, parmi les sujets abordés, ceux qui relèvent du domaine de la solidarité, de l'entraide et du social ont occupé une bonne partie des débats. La crise n'épargne personne. Le territoire de la section de Lannemezan s'étend sur 7 cantons. Elle compte dans ses rangs 194 retraités et veuves dont 148 adhérents. Elle est ouverte, y compris aux gendarmes d'active.

« Au plan social, a précisé le président Gérald Matyn, des visites sont rendues aux membres hospitalisés, en résidence d'accueil, convalescents ou qui rencontrent des difficultés financières. A l'occasion des dernières fêtes de Noël, 57 colis de friandises ont été distribués à des veuves ou à des retraités. Ces contacts, indique le président, permettent de rompre la solitude et apportent un peu de chaleur et un soutien moral aux personnes isolées. »


repères

Le chiffre : 57

Colis > De friandises. Distribués à l'occasion des dernières fêtes de Noël.


Diplômes d'honneur et sorties

Lors de l'assemblée générale, Aimé Ollier, le président d'honneur de la section, et Émile Bernigole, porte-drapeau, ont reçu le diplôme d'honneur avec médaille de bronze pour, respectivement, 28 et 22 années d'adhésion à la section. Par ailleurs, lors de l'assemblée générale, il a été décidé d'organiser les journées très appréciées et attendues suivantes : voyage d'une journée en juin, des grillades en octobre, une journée cohésion avec les gendarmes d'active et la participation à la cérémonie de la Sainte-Geneviève.

Le golf de la Demi-Lune va fêter ses 50 ans d'existence


Le golf de la Demi-Lune va fêter ses 50 ans d'existence

anniversaire

1962 -2012 : le golf de la Demi-Lune a 50 ans. Roger Ricateau, le président actuel, et l'équipe de direction du 18 trous de Lannemezan ont voulu marquer le coup à l'occasion de ce cinquantenaire.

Au programme, de nombreux rendez-vous dont des compétitions pour les jeunes et les moins jeunes : le 24 juin, coupe des enfants des écoles de Lannemezan et de l'école de golf ; au mois de septembre, déplacement des enfants en bus à l'open de golf de Toulouse.

Compétitions fédération-ligue : le 25 mars, championnat de ligue par équipes ; du 25 au 29 avril, championnat de France 3e division messieurs ; en juin, championnat de France des entreprises ; les 24 au 25 juin, grand prix seniors ligue ; les 7, 8 et 9 août, circuits seniors de ligue ; les 1er et 3 septembre, grand prix fédéral ; le 6 octobre, championnat, départ individuel dames et messieurs. À l'occasion du cinquantenaire : le 24 juin, nocturne sur 9 trous ; le 22 juillet, 50 ans, 50 ans trous par équipe de 3 ; les 8 et 9 septembre, grand prix de la ville de Lannemezan ; le 30 septembre, trophée amateur/amateur (classé en dessous de 10).

La forme à fond


La forme à fond


A quoi imputer le début de saison (4 victoires) de l'Entente Astarac-Bigorre XV ? A l'émergence d'un collectif et à la coordination technique des joueurs servis par une condition physique optimale. Suivent 4 autres victoires (à domicile) alternées avec des défaites (à l'extérieur), un nul à Tartas, un 9e succès contre Bardos puis la défaite à domicile (la seule à « la maison ») contre Argelès.

S'intercale alors au centre des critiques, l'état de forme des joueurs qui… s'entraîneraient trop ! En effet, aux séances « terrain » du mercredi et du vendredi s'est ajouté le « physique » du mardi. Patrick Bentayou, manager des seniors avec le triumvirat Barthélémy-Salvi-Prévitali, assume des choix conformes aux objectifs. « Nous achevons un travail physique programmé depuis 6 semaines en prévision des phases finales et non pas en fonction de la fin des matches retour », nuance le coach de Miélan-Mirande. « La séance du mardi axée sur la vitesse et la résistance bonifie la « prépa » déjà effectuée en « physique intégré » le mercredi et le vendredi ». Résultats des courses, l'EAB (jadis 1re) reste qualifiable (mais 4e) à 3 pts de Gimont (5e).

« Le but est d'être beaucoup plus en forme pour les phases finales que les autres équipes, peut être à bout de souffle à ce moment-là », contre-attaque l'expérimenté coach passé par la Pro D2 à Lannemezan. L'EAB XV joue le coup à fond pour changer de rythme. Et de division. Car qui ne tente rien ne jouerait que le maintien.

Crédit Mutuel : première assemblée générale


Crédit Mutuel : première assemblée générale

économie

Le président Didier Carrère lors de l'AG./Photo A. Maillé.
Le président Didier Carrère lors de l'AG./Photo A. Maillé.
Le président Didier Carrère lors de l'AG./Photo A. Maillé.

Le Crédit Mutuel de Lannemezan, la banque mutualiste qui appartient à ses clients sociétaires, a tenu sa première assemblée générale annuelle à la salle des fêtes de Lannemezan. Sous le contrôle d'Hélène Dubois, Didier Carrère, le président de la caisse de Lannemezan, a donné lecture du rapport moral. Un bon bilan après seulement un an d'existence à Lannemezan. Pour preuve, déjà 350 clients et 97 % des dossiers de prêts accordés par l'agence de Lannemezan. Une bonne performance qui s'inscrit dans la droite ligne des résultats du groupe Crédit Mutuel. À qui le « Financial Times » a décerné, pour la deuxième année consécutive, le titre de meilleure banque française.

Lannemezan. Le virage industriel


Lannemezan. Le virage industriel

économie

Sortie de l'usine entre les deux guerres./ Photo archives.
Sortie de l'usine entre les deux guerres./ Photo archives.
Sortie de l'usine entre les deux guerres./ Photo archives.

Peu de ressources naturelles, rien ne prédestinait Lannemezan à devenir un pôle industriel, si ce n'est un homme providentiel : l'ingénieur Henri Gall. Le processus débuta au cours du second empire lorsque l'armée choisit la lande du Plateau comme terrain de manœuvres pour l'artillerie, laissant derrière elle une série d'installations et de baraquements. Pendant la Première Guerre mondiale, La Poudrerie nationale de Toulouse les utilisa pour sa production d'explosifs. Ces structures, au débouché de la vallée d'Aure productrice d'hydroélectricité, étaient idéalement placées pour une production de synthèse par hydrolyse qui nécessite de l'énergie électrique. D'autant plus qu'elles étaient desservies par le chemin de fer indispensable. Toutefois, cette production ne dura que l'instant de la guerre. Mais parmi les délégués de la poudrerie, il y eut Henri Gall, qui sut flairer toute l'avancée que présentait la branche électrochimique pour l'avenir industriel, notamment les engrais de synthèse. Ainsi, Henri Gall, déjà fondateur et président de la première Société des produits azotés dans les Alpes, sut saisir cette opportunité pour doubler la capacité de sa société. Il fallut néanmoins patienter quatre ans, en 1923, pour le démarrage effectif de la première production d'engrais cyanamide et aussi la vocation industrielle de Lannemezan.C'est un enchaînement de choix politiques inhérents à de grands événements successifs de ces deux derniers siècles qui permit, sur les vastes landes disponibles et à la croisée des chemins, l'émergence du pôle industriel de Lannemezan.


Le fleuron de l'aluminium

Maîtrisant parfaitement sa technologie, l'usine SPA a su gravir les échelons du progrès et de la réussite et même créer en 1936, en face de l'usine mère, une unité qui deviendra un fleuron de la production d'aluminium. Lannemezan se classant à la troisième place des usines d'aluminium dans les années 1960.


Le chiffre : 50 000

tonnes > Par an. Ce fut la capacité de production d'aluminium de l'usine de Lannemezan.

Lannemezan. Évolution vers le futur


Lannemezan. Évolution vers le futur

un peu d'histoire…

La Société des produits azotés, avec ses deux usines de Lannemezan, d'engrais synthétiques d'une part et de production d'aluminium d'autre part, profita pleinement de cette époque de reconstruction et de développement industriel d'après-guerre connue sous le nom des Trente Glorieuses. La cession des deux usines à de grands groupes industriels dans les années « 60 et 70 » prolongea l'embellie une décennie encore. Mais les prémices de la mondialisation et la concurrence ne tardèrent pas à produisirent leurs effets sur l'emploi industriel par des offres de coûts de production inférieurs, surtout pour la production d'aluminium. En cause : une offre d'énergie moins chère, une proximité des matières premières (gisements ou ports minéraliers) et, bien évidemment, un coût de la main-d'œuvre inférieur. La production d'aluminium tint encore vingt ans avant une fermeture définitive vers 2000. Ce handicap, Lannemezan a su le surmonter et s'ouvrir sur de nouvelles perspectives d'avenir. La branche engrais Arkema est toujours active, et sur l'ancien Alcan et autour, un large éventail d'entreprises se sont implantées sur de nouvelles zones. Elles ont comblé en partie le déficit d'emplois mais surtout elles représentent de nouvelles perspectives de développement axées sur les branches industrielles du futur.

Tarbes. Deux têtes d'affiche pour un week-end


Du 30/03/2012 au 01/04/2012

Tarbes. Deux têtes d'affiche pour un week-end

Titoff sera à Lannemezan, ce soir./Photo DR.
Titoff sera à Lannemezan, ce soir./Photo DR.
Titoff sera à Lannemezan, ce soir./Photo DR.

Spectacle et one-man-show pour un retour après cinq ans de dur labeur pour Titoff, puisqu'il est devenu papa. En bon Marseillais, ce sont donc cinq années remplies de travail au Pastis et à la pétanque qu'il va nous faire vivre sur la scène lannemezanaise. Dès 21 heures, vous plongerez avec délice dans cet univers vu par Titoff, où il repeint notre société avec humour et naturel. Des émissions de télé-réalité aux pubs, de la vie de couple à la passion pour la déco, un spectacle populaire et joyeux qui plaira à tous les fans de cet invité régulier des émissions de Laurent Ruquier.D'un côté, la gouaille marseillaise version masculine. De l'autre, la gouaille toulousaine version féminine. Et vous n'aurez même pas à faire le choix entre les deux têtes d'affiche du week-end dans les Hautes-Pyrénées puisque Titoff vous attend ce soir, à la salle des fêtes de Lannemezan, tandis que Juliette ouvrira son « No Parano Show » demain, au Parvis à Ibos.

Dès le lendemain, vous pourrez plonger dans le « No Parano Show » de Juliette. Nougaro en jupon, Gainsbourg sans « Gainsbare », toulousaine affirmée dans son accent et dans ses vers, Juliette fête ses vingt ans de scène et demain, à 20 h 30, sur la scène nationale du Parvis à Ibos, elle vous fera découvrir son univers musical et poétique. De l'humour tendance acide, de la poésie légèrement extasiée, un moment de détente musical et théâtral à ne pas rater.

Lannemezan. Marcher ou courir pour la bonne cause


Lannemezan. Marcher ou courir pour la bonne cause

rendez-vous

Ce dimanche, de 9 heures à 12 heures, au parc de l'hôpital de Lannemezan, près du lac, deux parcours de marche ou course de 3,5 km ou 1,5 km sont proposés à tous.

Cette action s'inscrit dans le cadre du Parcours du cœur.

Pascal Baqué et une équipe d'amis ont pris en charge l'organisation de cette matinée sportive pour la bonne cause.

La participation est libre. Financièrement, chacun donne ce qu'il peut ou ce qu'il veut.

L'argent récolté sera remis à la Fédération française de cardiologie.

À noter la présence sur place de deux cardiologues, de la Croix-Rouge et des pompiers.

Il sera possible de se faire prendre la tension. Une démonstration sur l'utilisation d'un défibrillateur est aussi prévue.

Une collation sera offerte à tous les participants.

Aussi, rendez-vous nombreux, ce dimanche, à Lannemezan, pour la pratique d'une activité sportive, en famille et entre amis, sans classement ni compétition.

Renseignements complémentaires sur l'organisation de cette marche ou course au 06.32.51.97.97.

Lannemezan. Janusz Malik : le premier roman


Lannemezan. Janusz Malik : le premier roman

culture

Janusz Malik en dédicace !
Janusz Malik en dédicace !
Janusz Malik en dédicace !

« Le Concerto de Valdemos », éditions de l'Arriou, 13€.Après la peinture et le conte, Janusz Malik poursuit l'aventure dans son univers ptaszkoube par un premier roman : « Le Concerto de Valldemosa ». Un ouvrage qu'il a présenté ce mois de mars, à la librairie Le Vent des mots. Sa construction tient davantage des mouvements d'une symphonie que d'une suite événementielle logique. Il nous conduit dans un monde imaginaire ptaszkoube, quelque part entre l'absurde d'Alfred Jarry et le fantastique de Lewis Caroll, d'où s'échappe dans les airs les notes de musique légères comme des plumes, où les chats déploient leur félinité et au milieu, bien sur terre, la vie monocorde des hommes. Comme tout roman, par essence portant sur l'imaginaire, ce n'est pas une autobiographie. Mais, néanmoins, des descriptions par tableaux successifs d'un ressenti plutôt romanesque d'un lieu, d'une région. Cet onirisme, Janusz sait l'accompagner, en filigrane, à l'instar d'un film, d'un fond musical puisé aux meilleures sources de la composition du siècle dernier pour aboutir sur les traces de Chopin et de George Sand à Valldemosa, à Majorque.

Lannemezan. Les éleveurs veulent conserver leur marché


Lannemezan. Les éleveurs veulent conserver leur marché

agriculture

Henri Dupouts, éleveur, de Mauvezin, et André Cassou, des Angles./Photo C. S.
Henri Dupouts, éleveur, de Mauvezin, et André Cassou, des Angles./Photo C. S.
Henri Dupouts, éleveur, de Mauvezin, et André Cassou, des Angles./Photo C. S

Lannemezan est l'un des derniers marchés de la région où l'on peut vendre ou présenter des bêtes, en l'occurrence des ovins. Aussi, les éleveurs du département, mais aussi du Gers et de la Haute-Garonne, avaient tenu à venir nombreux assister, mercredi, aux concours ovins et de béliers qui ont eu lieu sous la halle du Nébouzan. Un endroit où les agriculteurs veulent continuer à se retrouver, encore longtemps, les mercredis.Après des concours ovins et de béliers pleinement réussis, les éleveurs font part de leur volonté de continuer à vendre sous la halle du Nébouzan.

« Le bâtiment avait été prévu pour le marché des moutons. Les investissements ont été financés pour l'agriculture et non pas pour le sport et les loisirs », précise Jean Barthe, éleveur à Réjaumont, qui promet que les agriculteurs resteront vigilants sur la suite des événements, si la halle devait être détournée de son utilité première.

Pour Henri Dupouts, éleveur à Mauvezin : « Le marché est un lieu de rencontres où les agriculteurs se retrouvent pour échanger et faire des affaires. Cet outil est donc important ». André Cassou vient des Angles, près de Lourdes, tous les mercredis pour vendre ses animaux à Lannemezan et pour lui, « il ne faut pas laisser tomber ce qu'ont fait les anciens ».

Pour la municipalité, Roger Pham, 1er adjoint, répond : « Nous avons un projet global d'aménagement du Nébouzan pour les activités sportives et nous devons prendre en compte les besoins des éleveurs avant toute décision définitive. à ce jour, rien n'est acté. Nous en sommes à la réflexion ».


repères

Le chiffre : 39

éleveurs > Présents au Nébouzan. Mercredi, pour les concours ovins et de béliers.


Au tableau d'honneur

Lors des concours ovins et de béliers, le prix d'ensemble pour la race Aure et Campan est revenu à Robert Verdot (Sailhan) et pour la race tarasconnaise, à Louis Compagnet (Loudenvielle). Le palmarès de la race Aure et Campan est le suivant : en agneaux lourds, 1. Pierre Ducos (Lutilhous) ; en agnelles sans mâle : Jean-Louis Ousset (Ferrère) ; en agnelles avec mâle : Robert Verdot ; en béliers 2 dents : Christophe Bourrec (Saint-Lary) ; en béliers 4 dents : Yves Duthu (Esparros) ; en béliers 6 dents : Charles Castéran (Nistos).

Lannemezan. Des produits chimiques réduits de moitié


Lannemezan. Des produits chimiques réduits de moitié

espaces verts

L'équipe de la voirie utilise le désherbeur thermique pour brûler les mauvaises herbes./Photo C. S.
L'équipe de la voirie utilise le désherbeur thermique pour brûler les mauvaises herbes./Photo C. S.
L'équipe de la voirie utilise le désherbeur thermique pour brûler les mauvaises herbes./Photo C. S.

La ville de Lannemezan attache un soin particulier à la limitation de l'usage des produits chimiques. Ainsi, pour les espaces verts, des procédés particuliers sont mis en pratique. Le désherbage thermique, qui consiste à brûler les plantes, a été substitué en partie aux produits chimiques pour éliminer « les mauvaises herbes ». En centre-ville, un complément de désherbage manuel et mécanique est effectué par l'action du balayage de l'équipe de la voirie. Dans le reste de la commune, un désherbant sélectif, à l'aide d'une pompe doseuse, ne détruit que les plantes ciblées. « Il n'est donc pas rare à Lannemezan de trouver des pâquerettes et des pissenlits sur les ronds-points et les espaces verts », indique Jean Baillès, le responsable du service. Toujours pour des soucis d'économies, au niveau des déchets de tonte, les services municipaux ont mis en place la méthode du « mulching » où l'herbe est broyée et laissée sur place, ce qui évite son ramassage et fertilise naturellement le sol. De plus, grâce à l'acquisition d'un broyeur à branches, le volume des déchets verts a été réduit et les copeaux ainsi produits sont réutilisés au pied des arbres et des haies, ce qui réduit aussi l'évaporation de l'eau et la pousse des « mauvaises herbes ». En matière d'arrosage, le système du goutte-à-goutte est pratiqué. Enfin, les jardinières du centre ville, de la serre municipale et des jardins des Saligues bénéficient de l'eau du canal de la Neste.La ville de Lannemezan mène une véritable politique environnementale en matière de produits chimiques et de déchets verts, ainsi que d'économie d'eau.


repères

Le chiffre : 12

Agents municipaux > Au service des espaces verts. À la ville de Lannemezan.


D'autres économies

Toujours dans un souci d'économies et pour des raisons environnementales, le choix des véhicules du service espaces verts s'est porté vers des voitures et des camions hybrides fonctionnant au gaz et à l'essence.

Les fleurs sont cultivées au printemps, sous serre, et non l'hiver, pour économiser du chauffage.

Renseignements complémentaires sur les espaces verts au 05.62.40.28.28.

Jean Barthe : le beau gladiateur


Jean Barthe : le beau gladiateur

Jean Barthe : le beau gladiateur
Jean Barthe : le beau gladiateur
Jean Barthe : le beau gladiateur

Il clôturera ce riche parcours en novembre 1990. Il aura eu l'honneur de commander le XV de France à 4 reprises. Un capitaine d'exemple plus que de mots et de cris. Image de sa personnalité.La carrière, en équipe de France, de Laurent Rodriguez épouse pratiquement celle d'entraîneur et de sélectionneur de Jacques Fouroux. Vous pensez bien que le « Petit caporal », en quête d'hommes forts, a été rapidement subjugué par le mètre 92 et les 111 kg du jeune Montois (21 ans), venu du plateau de Lannemezan. D'autant que ses mensurations étaient alliées à une vitesse de trois-quarts lui permettant de faire des brèches et surtout à une phénoménale force de pénétration dans le petit périmètre. Il était effectivement nanti de cette faculté de s'extraire des « tas » les plus compacts, un, deux, trois adversaires et plus sur le paletot, ou de faire l'inestimable pas vers l'avant pour mettre les siens dans le bon sens. En plus, ses bras sont de véritables vérins et il excelle dans le rôle de conservateur ou d'arracheur de ballons. Peu, très peu de joueurs présentent ce profil (on en cherche encore aujourd'hui, n'est-ce pas PSA ?). Un très long bail en bleu commence avec le paradoxe rare que Laurent Rodriguez l'international sera beaucoup plus performant que Laurent Rodriguez l'équipier de club. Ses 25 premières rencontres internationales, il les joue troisième ligne aile ou seconde ligne. Il endossera le n°8 une seule fois, en février 1982 (Joinel en est l'habituel titulaire), lors d'une défaite au Pays de Galles. Il le reprendra pour le match particulièrement musclé contre les Blacks à Nantes, en 1986, et ne le relâchera plus. Le pack de ce jour inoubliable à la Beaujoire sera celui qui amènera la France en finale de la première Coupe du Monde en Nouvelle-Zélande, avec Laurent en figure de prou.

Dans les coulisses du PNH


Dans les coulisses du PNH

Jean-Marie Duffo a été déterminant avec 10 buts à son actif.
Jean-Marie Duffo a été déterminant avec 10 buts à son actif.
Jean-Marie Duffo a été déterminant avec 10 buts à son actif.

Belle performance des moins de 18 ans garçons qui battent, au gymnase de Lannemezan, l'équipe de Tournefeuille, 31 à 21. Ils ont dominé collectivement les Toulousains, avec de beaux enchaînements offensifs. On notera le gros match du côté droit de l'attaque avec Jean-Marie Duffo (10 buts) et Maxime Joseph (5 buts). Ils confortent leur première place avec 4 points d'avance sur le second, l'Isle-Jourdain. Les -18 ans filles sont allées s'imposer chez les secondes, Quint-Fonsegrives, 29 à 28. Un tout petit but, mais un but qui leur permet de passer devant les adversaires du jour au classement. Marine Soubie est à créditer d'une belle performance avec 12 buts à son actif. Une saison déjà exceptionnelle pour les filles de Pierrick Haran. Les deux équipes seniors s'imposent à l'extérieur. Les filles l'emportent à Roques-sur-Garonne, 24 à 21. Collectivement, l'équipe s'est retrouvée, Valérie Touzanne validant avec 8 buts les bonnes intentions. Une seconde victoire consécutive qui assure le maintien. Les garçons ramènent la victoire de Bruguières, 30 à 28. Avec une belle cinquième place et le maintien assuré, les coéquipiers du capitaine Philippe Samaran peuvent être fiers de ce qu'ils ont fait.