Le maire de Monléon-Magnoac échappe à la noyade
accident
Sous le choc, la voiture a plongé dans le canal qui borde la départementale et s'est retournée sur le toit. /Photo Alain Maillé.
Gérard Barthe, le maire de Monléon-Magnoac, revient de loin. Hier matin, à Pinas, vers 7 h 30, alors qu'il se rendait à son travail à Lannemezan, venant de Monléon-Magnoac sur la RD24, à bord de son véhicule personnel, il a été violemment heurté par la droite par un véhicule utilitaire qui n'a pas respecté un signal « Stop », implanté sur la route qui mène de Pinas à Clarens. Sous le choc, la voiture de l'élu a fait un tour complet et a échoué - après avoir emporté la barrière de sécurité - sur le toit, dans le canal qui borde la départementale. « Je me suis retrouvé la tête en bas avec l'eau qui montait. Je me suis dit qu'il fallait vite réagir. J'ai eu du mal à dégrafer la ceinture de sécurité. Puis j'ai réussi à ouvrir la porte arrière droite qui s'est ouverte sans trop de problèmes et par laquelle j'ai pu m'extraire du véhicule et remonter sur la berge ».
Gérard Barthe reconnaît qu'il a eu beaucoup de chance et que l'accident aurait pu finir tragiquement. Mais, dit-il avec philosophie : « Quand ce n'est pas l'heure, c'est pas l'heure ».
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Sous le choc, la voiture a plongé dans le canal qui borde la départementale et s'est retournée sur le toit. /Photo Alain Maillé.
Gérard Barthe, le maire de Monléon-Magnoac, revient de loin. Hier matin, à Pinas, vers 7 h 30, alors qu'il se rendait à son travail à Lannemezan, venant de Monléon-Magnoac sur la RD24, à bord de son véhicule personnel, il a été violemment heurté par la droite par un véhicule utilitaire qui n'a pas respecté un signal « Stop », implanté sur la route qui mène de Pinas à Clarens. Sous le choc, la voiture de l'élu a fait un tour complet et a échoué - après avoir emporté la barrière de sécurité - sur le toit, dans le canal qui borde la départementale. « Je me suis retrouvé la tête en bas avec l'eau qui montait. Je me suis dit qu'il fallait vite réagir. J'ai eu du mal à dégrafer la ceinture de sécurité. Puis j'ai réussi à ouvrir la porte arrière droite qui s'est ouverte sans trop de problèmes et par laquelle j'ai pu m'extraire du véhicule et remonter sur la berge ».
Gérard Barthe reconnaît qu'il a eu beaucoup de chance et que l'accident aurait pu finir tragiquement. Mais, dit-il avec philosophie : « Quand ce n'est pas l'heure, c'est pas l'heure ».
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