Lannemezan. Les mises au point du Parti socialiste local
Publié le 08/05/2013 à 07:19 | 1
politique
Jean-Bernard Colomès, le secrétaire local du Parti socialiste./Photo C. S.
Jean-Bernard Colomès, le secrétaire local du Parti socialiste, répond à ce qu'il qualifie de «manœuvres politiques» et il s'exprime sur son avenir politique.
Jean-Bernard Colomès, le secrétaire de la section locale du Parti socialiste, prend la parole pour couper court à des prétendues tensions politiques dans la majorité municipale.
Jean-Bernard Colomès, que répondez-vous à ceux qui suspectent des divergences dans la majorité municipale ?
Nous avons bien compris la tactique de l'opposition municipale qui consiste à tenter de désolidariser l'équipe municipale, mais aussi de la Communauté de communes (CCPL) pour créer du schisme et en profiter d'une façon ou d'une autre. Mais rappelons que le budget a été voté à l'unanimité, oppositions comprises.
En désespoir de cause, ils détournent l'attention des Lannemezanais sur la dénomination d'un rond-point qui a donné lieu à des expressions individuelles, démocratiques et recevables. À croire que certains tourneront toujours en rond…
Vous êtes donc pleinement solidaires du bilan municipal…
Le bilan municipal est incontestable. Sur le plan économique, les implantations d'entreprises sont connues de tous, avec les emplois et l'augmentation de la population que cela engendre.
Les bénéfices se traduisent et se traduiront dans les recettes fiscales de la commune. La majorité municipale assume ce bilan qui est le fruit d'un travail d'équipe, comme aime à le répéter Bernard Plano.
Le chiffre : 100
adhérents > A la section. Du Parti socialiste de Lannemezan.
L'avenir politique de J.-B. Colomès
Adjoint à l'action sociale à Lannemezan, Jean-Bernard Colomès se positionne pour l'avenir : «Où que je sois, je mettrai mes convictions profondes de gauche au service de mes concitoyens, d'ici ou d'ailleurs». Mais, pour l'heure, il ne souhaite pas en dire plus sur le sujet. L'élu ajoute : «La production de richesses par le développement économique est prioritaire pour pouvoir redistribuer et faire de l'action sociale. Reste à décider à qui, combien et comment ?».
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