lundi 20 juin 2011

Lannemezan. Le CAL a perdu un de ses plus fidèles supporters



Lannemezan. Le CAL a perdu un de ses plus fidèles supporters
hommage
Jean-Claude Bracali avec son écharpe fétiche du CAL./Photo archives DDM
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Jean-Claude Bracali, le président du Club des supporters du CAL, est décédé à la suite d'une longue maladie. Hommage à un bénévole dévoué. Engagé.
Il ne passait pas son chemin sans lever la main pour dire bonjour. Un sourire en coin. Jean-Claude Bracali, le président du Club des supporters du CAL, nous a quittés dimanche dernier, à la suite d'une longue maladie. Ses obsèques ont eu lieu mardi après-midi, en l'église Saint-Jean-Baptiste de Lannemezan, en présence de sa famille et de nombreux amis. Après l'émouvant hommage de Bernard Duclos, son gendre, qui a retracé sa vie, l'assistance a pu se recueillir au son de la chanson fétiche du CAL, « Le Refuge ». Des gouttes ont alors coulé sur les visages. Puis, l'inhumation s'est déroulée au cimetière de Bize.
On gardera de Jean-Claude Bracali le souvenir d'un homme avenant, passionné de rugby et du CAL où il a joué pendant de nombreuses années avant de le servir en tant que dirigeant et président des supporters.
Même si la maladie ne lui a sans doute pas permis d'être autant disponible qu'il l'aurait souhaité, il tenait à montrer son attachement au club par sa présence. Avec lui, on pouvait parler pendant des heures de ballon ovale. Son analyse était pertinente, franche, directe. A son image. Et il finissait souvent ses déclarations sur une note positive. Avec cet amour et ce respect des autres qui le caractérisaient.
Jean-Claude, ceux qui t'ont connu ne t'oublieront pas. Conscients et reconnaissants pour tout ce que tu leur as donné et appris.
Alors, simplement mais bien sincèrement, merci.
repères
Le chiffre : 63
ans > C'est l'âge. Qu'avait Jean-Claude Bracali, marié à Pilar et père d'une fille, Karine.
Les mots de Bernard Duclos
Bernard Duclos, le gendre de Jean-Claude Bracali, évoque cet homme passionné de rugby : « Le Tigre, comme on le surnommait, ne rugira plus. Il est parti trop tôt. Jean-Claude était quelqu'un de discret mais sa gentillesse, son honnêteté, faisaient de lui quelqu'un de très apprécié, que ce soit dans le monde du travail à Arkema (anciennement Atochem) où il a fait toute sa carrière en tant qu'agent de maîtrise ou à l'extérieur. Maintenant, il peut aller se reposer et rejoindre Paco, son beau-frère, et Marcel, mon père ».

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